Edito : le décret sur la lipolyse suspendu, l’usage du Macrolane restreint
L’usage du Macrolane restreint. En France, une décision de l’Afssaps du 26 août 2011 interdit l’utilisation des produits injectables pour l’augmentation mammaire, au regard du risque de perturbation temporaire des mammographies. Selon
l’Afssaps, cette décision est une simple « mesure de précaution » car « aucun événement indésirable grave n’a été mis en évidence au cours de ces trois dernières années d’utilisation, en France comme en Europe » et aucun risque n’a été identifié
depuis l’autorisation du produit en 2008. Macrolane continuera a être utilisé en France pour les traitements de restauration temporaire du contour corporel et reste disponible dans les autres pays pour tous les traitements, y compris pour l’augmentation mammaire.
Selon Christophe Luino : “Devant ces décisions, nous pouvons nous interroger sur la nécessité qu’il y aurait de mettre en place un groupe d’experts, représentant à la fois les industriels et les praticiens du domaine, qui aurait vocation à être une force de proposition et de consultation auprès des pouvoirs publics et ainsi participer à l’organisation et la réglementation nécessaire du secteur, sans le déstabiliser. C’est une réflexion sur laquelle nous ne manquerons pas de revenir…”
Anti Age Magazine et notre institut de sondage partenaire, Arcade Research vous livrent les derniers résultats de l’étude “dermatologie esthétique anti-âge”. 5 millions de femmes souhaitent pratiquer des actes de dermatologie esthétique.
Par quoi êtes vous préoccupée sachant que la « Jeunesse du Visage » est une problématique très répandue chez les Françaises ?
Selon notre étude, le problème que vous rencontrez le plus est indéniablement celui des « cernes » qui touche 45,4% des françaises âgées de 18 à 75 ans (10,2 millions de femmes), surtout les moins de 50 ans. Suivent ensuite en seconde position les « pattes-d’oie » (rides se formant au coin de l’oeil du fait du vieillissement, de l’exposition au soleil, des expressions faciales ou du tabagisme) qui touchent 39,6% des françaises (8,9 millions de femmes), en troisième position les « rides et ridules situées autour de la bouche et des lèvres » qui touchent 37% des françaises (8,3 millions de femmes), en quatrième position ex-aequo, les « rides du sourire » (lignes verticales reliant les côtés du nez aux commissures des lèvres) et la « perte de fermeté et de l’élasticité du cou » qui touchent 32% des françaises (7,2 millions de femmes) puis en cinquième position les « rides du lion » (rides situées entre les sourcils) qui touchent 29,1% des françaises (6,55 millions de femmes).
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