Leader sur le marché de l’esthétique, Galderma joue un rôle important dans l’évolution de ses pratiques. Tout d’abord comme fabricant de produits, dont l’efficacité et la sécurité ne sont plus à prouver. Mais aussi et surtout, comme accompagnateur dans la formation des médecins.
« Contrairement au marché de la cosmétique, nous ne sommes pas dans une course effrénée au déve- loppement de nouveaux produits. Nos produits d’injections ont, depuis des décennies, prouvé leur efficacité et leur haute sécurité. Aujourd’hui, notre valeur ajoutée, et notre rôle, est d’accompagner et de former les médecins aux techniques les plus pointues, afin qu’ils puissent prodiguer les meilleurs traitements et upgrader les prises en charge ». Maxence Delmas – Directeur Général Galderma Esthétique.
Sur les réseaux, chacun gomme ses défauts, corrige ses photos, grâce à des filtres ou applications. Mais quand vient la réalité, il faut être en phase avec leur image virtuelle. Raison pour laquelle, les 25-35 ans sont tournées contrairement à leurs mères vers une prévention pour mieux vieillir, et non vers une transformation pour suspendre le temps, qu’elles partagent sans tabou sur leurs réseaux sociaux. Pour elles, l’évidence d’avoir une peau parfaite comme leur image filtrée, se traduit naturellement par un protocole belle peau à base d’hydratation en profondeur avec du Restylane Skinboosters®.
Et les jeunes médecins aussi utilisent les réseaux sociaux comme moyen pour communiquer avec leurs patientes « Je partage sur les réseaux sociaux mon travail afin de les informer des traitements que l’on peut effectuer dans mon cabinet, mais la plupart viennent grâce aux commentaires google, qui sont extrêmement consultés et crédibilisent le cabinet auprès des patients. Comme c’est une génération qui juge en se fiant aux commentaires des autres, leur choix se fait en fonction des avis et des notes et non et pas seulement grâce à Instagram. » Dr Bouhassira, médecin esthétique
« 40% de ma patientèle sont des millenials. Et ce chiffre est en pleine expansion parce qu’elle est liée à la démocratisation à outrance des réseaux sociaux. Pour preuve, la demande qui a évolué le plus ces derniers temps est celle du contouring, surtout depuis les selfies en ¾, les filles font plus attention à la silhouette du visage. C’est une génération décomplexée qui n’a pas peur de l’image qu’elle veut avoir et encore moins de demander un résultat précis. » Dr Schinazi, médecin esthétique